Maracanã

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sábado, 31 de dezembro de 2011

Laura Gallego / Carmen de España / Carmen from Spain

O que acontece no meio Martha Medeiros

O que acontece no meio - Martha Medeiros

Vida é o que existe entre o nascimento e a morte.
O que acontece no meio é o que importa.
No meio, a gente descobre que sexo sem amor também vale a pena, mas é ginástica, não tem transcendência nenhuma.
Que tudo o que faz você voltar pra casa de mãos abanando (sem uma emoção, um conhecimento, uma surpresa, uma paz, uma ideia) foi perda de tempo.

Que a primeira metade da vida é muito boa, mas da metade pro fim pode ser ainda melhor, se a gente aprendeu alguma coisa com os tropeços lá do início.
Que o pensamento é uma aventura sem igual.
Que é preciso abrir a nossa caixa preta de vez em quando, apesar do medo do que vamos encontrar lá dentro.
Que maduro é aquele que mata no peito as vertigens e os espantos.
No meio, a gente descobre que sofre mais com as coisas que imagina que estejam acontecendo do que com as que acontecem de fato.
Que amar é lapidação, e não destruição.
Que certos riscos compensam – o difícil é saber previamente quais. Que subir na vida é algo para se fazer sem pressa.

Que é preciso dar uma colher de chá para o acaso.
Que tudo que é muito rápido pode ser bem frustrante.
Que Veneza, Mykonos, Bali e Patagônia são lugares excitantes, mas que incrível mesmo é se sentir feliz dentro da própria casa.
Que a vontade é quase sempre mais forte que a razão. Quase? Ora, é sempre mais forte.
No meio, a gente descobre que reconhecer um problema é o primeiro passo para resolvê-lo.
Que é muito narcisista ficar se consumindo consigo próprio.
Que todas as escolhas geram dúvida, todas.
Que depois de lutar pelo direito de ser diferente, chega a bendita hora de se permitir a indiferença.

Que adultos se divertem muito mais do que os adolescentes.
Que uma perda, qualquer perda, é um aperitivo da morte – mas não é a morte, que essa só acontece no fim, e ainda estamos falando do meio.
No meio, a gente descobre que precisa guardar a senha não apenas do banco e da caixa postal, mas a senha que nos revela a nós mesmos.
Que passar pela vida à toa é um desperdício imperdoável.
Que as mesmas coisas que nos exibem também nos escondem (escrever, por exemplo).

Que tocar na dor do outro exige delicadeza.
Que ser feliz pode ser uma decisão, não apenas uma contingência. Que não é preciso se estressar tanto em busca do orgasmo, há outras coisas que também levam ao clímax: um poema, um gol, um show, um beijo.
No meio, a gente descobre que fazer a coisa certa é sempre um ato revolucionário. Que é mais produtivo agir do que reagir. Que a vida não oferece opção: ou você segue, ou você segue. Que a pior maneira de avaliar a si mesmo é se comparando com os demais.

Que a verdadeira paz é aquela que nasce da verdade.
E que harmonizar o que pensamos, sentimos e fazemos é um desafio que leva uma vida toda, esse meio todo.
Fonte: Zero Hora

Laura Gallego / Carmen de España / Carmen from Spain

Laura Gallego y Erika Leiva / Solita en mi balcon

sexta-feira, 30 de dezembro de 2011

Confraternizações de final de ano...muitasssssssss....

quarta-feira, 28 de dezembro de 2011

Confraternizações de final de ano...muitasssssssss....



Quando chega o fim do ano, lá vamos nós agendar e comparecer às tais confraternizações. Hora de reencontrar tantos amigos e amigos, geralmente em chopes, almoços, jantares e bate-papos festivos.
Comigo, neste dezembro de 2011 não foi diferente. Fui a quase todos os encontros marcados, falhei um pouquinho, reconheço, mas no geral, deu pra abraçar, muito feliz, tantas pessoas que amo e fazem parte da minha vida.
Fotos reveladoras, sorrisos abertos, desejos de Feliz 2012!!!
Maria Aparecida Torneros   
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MARCAS DO QUE SE FOI. (Os Incríveis)

Feliz Ano Novo 2012

quinta-feira, 29 de dezembro de 2011

Nana Mouskouri - Charles Aznavour - Duo - Mourir d'Aimer - 2009

Céline Dion - Tous les secrets

Celine Dion - L'amour Existe Encore (Taking Chances Tour French DVD)

Celine Dion - Ne Me Quitte Pas (live in Las Vegas) (pl napisy)

Maysa - Ne me quitte pas traduzida

Maysa - Ne me quitte pas.mpg

Edith Piaf - Milord - Legendado

Maysa - Hino ao Amor HD

PIAF - Um hino ao amor (última cena)

Feliz 2012!!!

um grande ano para todas e todos!
paz e saúde!

Madeleine, 10 years old, sings "La vie en rose" from Edith Piaf

celine dion - la vie en rose

La Vie en Rose - Edith Piaf

Edith Piaf ~ La Vie en Rose / La Vida en Rosa 1955 (Original)

La visite de Piaf

La visite de Piaf
Un ciel nuageux inondé la ville de Paris, au printemps froid de 1950.


Marie ne pouvait pas croire qu'elle était la même Piaf, le célèbre compositeur et interprète, qui se tenait devant lui, aussi fragile qu'un petit moineau. Et ses yeux brillaient reflétant les sentiments d'une femme amoureuse et tourmentée.


Piaf est venu lentement, à l'ombre d'un sourire, amena la femme qui a reçu la porte de l'épicerie, votre ton de mélancolie, pâle incomprise sa vie, son désir d'amour et pressé d'arriver à un endroit qui ne sais pas. Il me semblait une petite chanteuse sans but. Déguisés avec des lunettes, et surtout beaucoup, ses cheveux avaient enveloppé dans un foulard de soie dans les tons de blanc et noir. Figure légendaire, Marie apprend vite à se tenir devant une déesse de la représentante légitime de la passion et la perplexité de la vie.


Ils ont parlé à monosyllabiques. Piaf était à la recherche de cigarettes et une bouteille de boisson chaude. Elle était seule, platement, sans maquillage, sauté d'un taxi. Il était presque dix heures du soir, Marie se préparait à fermer l'endroit après une journée longue et fatigante.


Il regarda avec une certaine réserve que la créature qui semblait encore plus petit, plus fragile que l'on pourrait penser, et mettre les mains si fines avec de longs doigts, les ongles culture et de traitement, Piaf lui a offert un semblant de mendiant avec une compagnie aérienne.


Marie lui demanda de s'asseoir et de mettre en place avec deux yeux croisés, autour d'une petite table, ont été fournis comme deux coupes, un cendrier, comme un rituel. L'artiste a allumé une cigarette, la jeune fille regarda attentivement, retour d'un regard curieux, mais doux.


Mots coûts de leurs bouches. Là, d'autre part, un sentiment d'étrangeté, d'une partie. Qui était cette fille apparemment calme, un employé de magasin, qui était sur le point d'être seul, à ces heures dans la moitié rue déserte, attendant pour un dernier client?


Dans les pensées confuses de Marie, et pourrait apparaître dans le magasin comme dénuée de sens, une chanteuse de renommée internationale, si solitaire et si le besoin qui a été lu dans leurs gestes d'insécurité posível de l'intelligence affligés et impénétrable des grands génies.


- Juste besoin quelques bouffées et un couple de lunettes. Alors, je ne la dérange plus. Vous devez avoir une famille qui attend à la maison typiquement français, n'est-ce pas?


- Il est (Marie a répondu rapidement), je vis seul, je suis venu à l'intérieur, a obtenu 29 ans, j'ai un amour, je connais toutes leurs chansons, et, aujourd'hui, peut-être le moment le plus important de ma vie.


Piaf, puis sourit d'un sourire. Il avait trouvé la bonne personne au bon moment et l'endroit semblait parfait. Nécessaires à l'enregistrement de ce moment. Sa vie fut une succession d'émotions, des hauts et des bas, des perquisitions et des pertes.


Certes, perdre le contact avec Marie, quel était son nom? dit ...
Mais comme ses souvenirs étaient trop forts, de l'enfance dans le bordel, Piaf avait l'habitude de lire les visages des femmes mal-aimés et rêveur, et traduire dans leurs chansons intenses, des affaires nostalgique et cachés.


Ainsi, en laissant derrière le magasin, serait me souviens même de Marie, symboliquement, serait en elle-même, un semblant de chaleur que vous avez offert des jeunes, pourrait sauver plus, pour composer une chanson d'amour, jamais, après que le vendeur humble et respectueux. Piaf a été incapable de payer la facture. Marie l'a arrêtée, il se sentait libre de présenter l'artiste avec de l'alcool et les cigarettes, je savais que cela lui avait donné de plus, cependant, de vous offrir le plaisir de recevoir cette visite étonnante et inattendue.


Accompagné de la chanteuse à la bordure de héler un taxi. Lorsque Piaf monté dans la voiture, Marie se pencha, prit ses mains, baisa respectueusement, a remercié son art, qui fait pleurer les yeux brillants du compositeur divin.


Puis, dans un réflexe, Piaf, caressant la tête de la fille, et lui chuchota: - Aujourd'hui, je suis de retour pour la France et recommencer. Il ya un an, j'ai perdu l'amour de ma vie dans un accident d'avion, et comme vous, Marie, je suis toujours seul, mais nous, les femmes seules, nous savons que tout est un point de vue ... Fondamentalement, nous sommes plus que jamais accompagné par les souvenirs et un désir infini de vivre.


Il a demandé au conducteur de ce match. Si oui, Marie est restée comme une statue pendant de longues minutes à regarder la voiture disparaît dans la nuit, entendant la voix de Piaf confessant était solitaire, toujours sentir sa main amicale lui caressant les cheveux et, surtout, de découvrir, en définitive, que l'entreprise aurait l'étoile, se joindre à eux pour une vie.


En 1955, année plus tard, Piaf apparu triomphant, dans un magnifique spectacle à l'Olympia à Paris. A la fin du spectacle, a reçu un paquet avec un cadeau dans le vestiaire n'était pas ouvert très tard, retour à la maison après une nuit merveilleuse de son retour à la réussite. Dans la boîte, il y avait un paquet de cigarettes, une bouteille de cognac et un billet: «Jamais de se sentir seul les nuits où il retourne en France. Avec ma société, Marie."



    
Maria Aparecida Torneros

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quarta-feira, 28 de dezembro de 2011

Te amarei, Senhor

Padre Zezinho - Segura Nas Mão de Deus

Amar como Jesus amou

PADRE ZEZINHO E CANTORES DE DEUS - ORAÇÃO PELA FAMÍLIA

Oração pela família

Cura Senhor!!!

 Cura Senhor, a dor da Antonieta Santos e sua família

Neste momento, acabo de saber que na véspera de Natal, minha amiga jornalista Antonieta Santos, perdeu, num acidente na piscina, o seu netinho caçula, Antonio de Assis, um anjinho, que eu conheci na casa dela.
Será rezada missa, no dia 29 de dezembro, quinta feira, na igreja N. Sra. da Paz.
Sou testemunha do carinho com que ela, seu filho e nora se desdobram no cuidado com as crianças e
compartilho da dor que sentem, do fundo do meu coração.
Mulher de fibra, grande profissional, excelente amiga e companheira, Antonieta terá, tenho certeza, conforto dos Céus, para que siga acolhendo a família e ajude seu filho e nora a suportar tamanha perda.
Aparecida Torneros

Cura, Senhor - Padre Reginaldo Manzotti - CD/DVD Milhões de Vozes

Cura Senhor

terça-feira, 27 de dezembro de 2011

Beija-me

Giorgia The man I love (Sanremo 2008)

Edith Piaf - Hino ao Amor (Hymne à L'amour) - Meninas Cantoras de Petróp...

NO me arrepiento de nada "Non Je ne regrette rien"

Edith Piaf - Non, je ne regrette rien (1961)

No Rien de Rien - Cassia Eller

Sara Montiel - Mi ultimo tango - Yira

Sara Montiel - La violetera - Déjala correr

SARA MONTIEL - BÉSAME MUCHO

Aznavour - Mireille Mathieu - Une vie d'amour

Mireille Mathieu - Sous le ciel de Paris

Mireille Mathieu - Pardonne-moi ce caprice d'enfant

Mireille Mathieu...Pardonne-moi

Mireille Mathieu - Hymne À L'Amour - Legendado

Mireille Mathieu - Non, Je Ne Regrette Rien - Legendado

Diana Ross The Man I Love

Anita O'Day- The Man I Love

IL Divo - The Man You Love (with lyrics)

Sara Ramirez- The Man I Love- Madlibs

Lena Horne sings "The Man I Love."

Ella Fitzgerald - The Man I Love

George Gershwin - The Man I Love

Johnny Depp - The man I love...

L'homme que j'aime!

The Man I Love Paroles



Quand la lune douce commence à faisceau,
Ev'ry nuit je rêve un petit rêve;
Et bien sûr, le Prince Charmant est le thème:
La h
Pour moi.
Même si je sais aussi bien que vous
Il est rare que un rêve devenu réalité,
Pour moi il est clair
Qu'il va apparaître.

Certains jours il va venir le long,
L'homme que j'aime;
Et il sera grand et fort,
L'homme que j'aime;
Et quand il vient à ma rencontre
Je vais faire de mon mieux pour faire hin séjour.

Il va me regarder et sourire -
Je vais comprendre;
Et dans peu de temps
Il prendra ma main;
Et bien il semble absurde,
Nous savons tous les deux, je ne dirai pas un mot.

Peut-être que je rencontrerai hin dimanche
Peut-être lundi - peut-être pas;
Pourtant, je suis sûr qu'un jour pour répondre hin -
peut-être mardi
Sera mon jour de bonnes nouvelles.

Il va construire une petite maison
Voulait juste dire pour deux;
D'où je ne serai jamais errent -
Qui? Seriez-vous?
Et donc tout haut,
Je suis en attente pour
L'homme que j'aime!

Barbra Streisand - The Man I Love

segunda-feira, 26 de dezembro de 2011

O homem que eu amo- The Man I Love- Le homme que j'aime

Quando ouço a Billie Holliday cantando esta canção, que, hoje, meu amigo Vitor Hugo Soares, da Bahia, dedicou à sua esposa, aniversariante, a querida Margarida, sou flechada por um tipo de nostalgia dos vinte anos... E percebo que completar vinte anos, de vez em quando, é mais saudável por vários motivos. Os primeiros vinte, quem não se lembra, era uma correria em busca de um futuro, trabalho, estudos, amores, talvez se escolhesse aquele aparentemente perfeito, o que podia durar a eternidade. Depois, na segunda vez que se completou mais vinte, ao entrarmos na faixa dos "enta", quem diria que nos pegamos reorganizando a vida, pensando e pesando escolhas, fazendo balanços, pessoal e profissional, e seguindo em frente, no auge de uma maturidade que nos legou experiência e cautela.  Surgem então os cuidados com o coração, as dietas para o colesterol, as caminhadas como recomendação médica, a certeza de que seguir com casamentos desgatados não vale a pena, ou a melhor das certezas, para os que se sentem felizes ao lado de quem os acompanha, dividindo os lençóis, alcançando até, quem sabe, as tais "bodas de prata". Bom conhecer casais assim, , mas sabemos que não é a sorte de todos e todas.
Os que sobram e se vêem solteiros, na terceira fase, vão viver os novos vinte anos, com a necessidade de amar em paz, sem calamidade interior, afugentando conflitos de identidade, buscando novos pares para as novas possibilidades. Os salões ficam repletos nas aulas de dança, as excursões ganham a preferência dos grupos quarentõe ou cinquentões, a vida segue, os amores ressurgem, a maturidade floresce.
Um dia, a gente acorda, e acaba de atingir os 60 anos. Nossa, como tudo passou tão depressa, e como não aproveitar cada minuto desta fase incrível?  
Almas inquietas iniciam caminhada espiritual, corpos satisfeitos já não se enganam quando buscam parceiros ou parceiras com semelhante grau de amadurecimento para curtir música, um chá da tarde, a calma de uma sessão de cinema, a viagem dos sonhos, que pode ser Veneza ou Gramado, mas que se encaixa bem com a aposentadoria e a alegria de viver.
A voz da Billie me faz acordar para a vida e me perguntar sobre o "homem que eu amo"...
Um dia, ele apareceu. Nem faz muito tempo. Nosso sonho conjunto é Paris e a música de fundo poderia ser La vie en rose... mas tem tudo a ver ouvir a  incrível Billie soltar a voz, prometendo-se que ele surgirá sim, numa dessas fases dos muitos 20 anos que todos podemos viver e reviver.
Quando ele surge, como na letra da canção, talvez seja num domingo, ou não. Mas é real, a gente reconhece pela energia que dele emana. É só rastrear sua luz, embarcar no sonho dele que tão nosso, que é tão presente, pode ser que ele tenha surgido numa segunda-feira, mas ele vem, sempre vem, veio pra mim, demorou, mas chegou...
 ps. Como ele é um bom sonho...tem todo direito de ir e vir...no vai e vem das nuvens do céu ou das ondas do mar...

Marie Aparecida Torneros 

   

domingo, 25 de dezembro de 2011

O primeiro Natal do Dudu!


O primeiro Natal do Dudu!

Um bebê de 9 meses e meio deve pensar assim:" ahhhhhhh..que bichinho ativo esse auau ( como eles falam no meu ouvido : Sucata!) que corre e serpenteia por aqui. Esta casa eu não frequento todos  os dias, acho que vim uma vez no niver do meu Vô Paulo, mas gosto mesmo é de observar o Sucata...ele é interessante, rs....um misturado Bassé, que brinca com meu pai, e se diverte com tampinha de refrigerante, ahhhhh...rs"

Claro que o Eduardo, em seu primeiro Natal, não entende mesm é quase nada, vai aprender pela vida afora essa coisa de Feliz Natal, etc. etc...
Mas o nosso primeiro Natal com Dudu teve um sabor especial...ele virou o rei da noite, seus olhinhos de descendência japonesa passearam por cada detalhe e encararam os meus, por exemplo, nos momentos em que eu fiz palhaçadas para vê-lo sorrir e mostrar os dois dentinhos de cima e os dois de baixo, uma fofura, um duendezinho de Natal, a promessa viva do futuro de uma humanidade que sonhamos assim, a ser refeita por criaturinhas que sorriam para a vida, que se orgulhem do mundo em que as colocamos.

Seus pais, minha sobrinha Ana e seu marido Rafael Togashi, se desdobram em atenção e carinho. Sua avó Alcina e seu avô, meu irmão Paulo, atentos, vão cobrindo o menino lindo de proteção e exemplos de vida. Seu tio, meu sobrinho Pedro, já é parceiro diário, além de padrinho, e lhe fará, com certeza, a cabeça, para que torça pelo time da maioria da família, o Fluminense carioca.

Quanto as duas bisavós, as duas de nome Norma, ele tem o privilégio de morar ao lado da bivó materna que lhe oferece imensa atenção, além das duas avós, que vivem também pertinho, e se revezam em atitudes de aconcheco e cuidado.
Sobram uma bisavó que ele vê pouco, minha mãe, e uma tia-avó de primeira viagem, eu, que, mesmo sem muito jeito, tenta lhe dar instantes de risadas e/ou, quando o tempo me der chance, de conversas ou historinhas que lhe possam interessar e distrair.

Dudu alegrou a noite de Natal em casa da minha mãe, jantamos com as mesas no jardim, foi realmente um Natal de Paz e Amor, brindamos a Jesus, estivemos juntos como deve ser, com o pensamento unido em torno do Bem que desejamos não só a nossa gente de casa, mas, para toda a gente que sonha com momentos de conciliação, entendimento, superação, esperança, onde quer que se encontre.

O tio-primo Léo, meu filho, antes de ir para a festa em Niterói, deixou presentes que Dudu e toda a famíia vão ver hoje.  

Na mesa, estiveram presentes, aqueles que sempre, há décadas, nos acompanharam em muitos Natais. Nas conversas e nas lembranças emudecidas, citamos a Bisa Alcina, o vô Ulysses, o vô Yanes, a quem nossas orações, certamente terão chegado
através da magia do espírito natalino.

Dudu se distraiu com o cachorro da casa da mamãe, o inquieto Sucata, e nós ficamos mais felizes com sua nova presença em nosso Natal.
Eduardo, bebê de sangue misturadinho, ancestralidade que passa pelas nacionalidades variadas, japonesa, brasileira, alemã, espanhola, portuguesa e brasileira, saberá, melhor que nós, quando crescer, que o Natal é bem mais um momento de reconhecimento do Amor que conduz famílias e que cria seres para ajudarem outros seres a melhorar o Planeta....por enquanto, mamadeira, papinha, risadas, etc...etc...olhadinha curiosa nas corridas do cachorro da bivó, antes de tanta responsabilidade que a vida lhe trará pela frente... a tia-avó Cidinha projeta um futuro de amor, paz e saúde para ele!  E aproveita para agradecer, através desta singela crônica, por ele ter dividido com ela (eu) e nós todos, a emoção do seu primeiro Natal!

Obrigada, Eduardo, nossa noite de Natal, com a sua presença, realmente "bombou"!


Maria Aparecida da Silva Torneros ( vulgo tia-avó)        

sábado, 24 de dezembro de 2011

Então é Natal !.Padre Marcelo Rossi (voz)

Natal todo dia ( Roupa Nova )

Anjos, Duendes e o Elemental Papai Noel


Anjos, Duendes e o Elemental Papai Noel

                                         Maria Aparecida Torneros


Dois olhinhos azuis brilhavam na minha direção, naquela noite feliz.


Eu os observava sentindo um certo arrepio nas costas, delicioso frêmito que me reportava à infância perdida.


Esses olhos iluminavam minha esperança de sonhos sobre a humanidade, a justiça, a saúde dos povos, a erradicação das diferenças e a paz. De certo modo, eles me hipnotizavam.


A intensidade daquele olhar me tornava tão pequenina.


Imaginei que seu raio de ação era tão abrangente, capaz de alcançar o universo inteiro.


O tal Papai Noel me transformava, insistentemente, numa pequena criança, desejando apenas ser feliz. Tudo era pureza em minha alma, ao ser contemplada pela magia do Natal.


De repente, senti que Anjos dançavam à minha volta, e cantavam o coro da harmonia soprando em meus ouvidos as canções mais doces.


Não podia crer naquela situação em que me via voando sobre as cabeças das pessoas, incrivelmente.


Sim, fui alçada por um grupo de Duendes risonhos e elevada, flutuando passando a me sentir tão leve quanto uma pluma e tao etérea quanto uma nuvem.


Os olhinhos permaneciam dentro dos meus, direcionados.


De onde eu estivesse, nos volteios que fazia no ar, podia divisar o brilho celeste que Papai Noel me enviava, através do azul intenso do seu maravilhoso olhar.


Eu sorria e chorava ao mesmo tempo. 


Então era isso que o Espírito de Natal podia fazer conosco?


Os seres humanos podiam voar e mudar de dimensão quando fossem tocados pelos Duendes, Anjos e pelo doce aconchego do bom Velhinho.


Observei lá em baixo, ficando cada vez mais distante, as pessoas da Terra.


Tive tanta pena delas. Senti que podiam ser mais felizes se eliminassem definitivamente tanto sentimento pequeno de competição e tanta inveja.


Também,  refleti, para que tanta ambição entre os povos, e quanta injustiça entre os homens. Vi, me comovi, chorei copiosamente, ao lamentar as guerras, as calamidades, as epidemias, a pobreza e a fome.


Mas, Papai Noel me chamou de volta, com sua atenção especial. Ele me ensinou, naquela noite, que tudo pode ser melhor, que deve se renovar eternamente a esperança e fazer alguma coisa concreta para mudar o mundo.


Cada um descobre em seu caminho algo a fazer de melhor por alguém que precisa. Disso, ele me convenceu. Lembrei de tanta caridade que se organiza em movimentos assistenciais  em todo o mundo, e pude ver as luzes de velas acesas, na imensa escuridão do cosmos.


Uma luz maior me possibilitou compreender que a cada ação de paz, a cada sorriso de uma criança, o mundo se renova e a humanidade se redime.


Assimilei a lição do Bom Velhinho e passei a sentir que o Natal é um lindo conto de Fadas, um mágico sonho a ser vivido entre adultos e crianças, para realimentar o universo de Amor. 


Sobre o Amor, ainda, ele, com seus profundos olhos azuis, me tirou a dúvida maior que me acompanhava há tanto tempo: o Amor existe, nós somos o próprio Amor, e ele vai além do tempo e do espaço...


Papai Noel me fez voar  sobre a Terra e me transformou num raio de luz...    Com meus volteios no céu, escrevi um imenso Feliz Natal no ar... para todos os meus amigos e amigas... que vão poder olhar na noite, entre as  estrelas , e observar a minha mensagem lá no alto... iluminando cada coração que sintonizar o meu.

Simone - Então é natal feliz 2012

Então , é Natal!

COLETÂNEA DE NATAL, PRA LER COM CALMA...

NESTE NATAL , QUERO OS MANSOS ...E APROVEITO PARA DIZER QUE O AMOR É O MELHOR DO NATAL NOS CORAÇÕES DOS CRISTÃOS OU NÃO CRISTÃOS...
SÓ O AMOR IMPORTA, NESSA VIDA, AFINAL...
Maria Aparecida Torneros
































Poema para o Natal
Quero os mansos...nesta Noite quero-os todos ao meu redor, como pequenos seres de aconchego a eles darei meu testemunho da fé que ainda cultivo pela humanidade inteira, quase toda em rebuliço... Quero os mansos de pés descalços, os de pele curtida, junto de mim espero que repousem suas almas plácidas, seus ares de conformação, sua compreensão pelos fracos, seu perdão pelos maus comandantes, sua carícia desprendida... Quero os mansos de voz melodiosa, os de canção que embala, aqueles de abençoada passagem pela terra, sem a mancha da ambição, quero-os, melhor dizendo, dentro de mim, para que me aperfeiçoem... que me façam aceitar as diferenças cruéis e me clareiem a comunhão... Quero os mansos... por esta madrugada inteira, com a paz que me ofertarem com a aura do amor dadivoso, com a certeza do sublime, com a magia da culpa desfeita... preciso deles para combater a solidão do meu pensamento infestado de abandonos... Mas, se os mansos não me visitarem na noite de Natal, eu prometo, irei ter com eles... porque preciso ser humilde, buscar as esquinas da periferia, dar um pão a quem tem fome, vinho a quem tem sede, abraçar um corpo magro e abandonado, olhar nos olhos um irmão que me espera, por aí, sem sequer saber meu nome, mas confiante em que o farei feliz... Pelo menos nesta noite de Natal, com cada manso que puder encontrar, partilharei minhas dores, apertarei suas mãos entre as minhas, e cantarei ... então é Natal... com lágrimas nos olhos e coração em festa...

Crônica para Alice e Minie, nesse Natal!







Ela chegou e me encantou. Tem 4 anos, me conquistou com seus olhos interessados na Minie, que eu danei a desenhar repentinamente, virando criança outravez. Estávamos num restaurante, depois de um lançamento de livro de uma amiga que todos amamos. A amiga, que nós achávamos que ia esticar conosco, não veio.

Ficamos assim, Alice e seus pais, eu e Zá. A conversa de adultos não nos atraiu. Alice me tirou da vidinha chata de madura pensante e me levou ao seu país das maravilhas, entre sorrisinhos pródigos e elogios meigos. A cada traço em que eu me esforçava para criar a Minie, ela dizia: - que bonitinho! e me incentivava a colorir, e me contava que a Minie tem vestido de bolinhas como ela viu na foto que mostrei, tirada em Nova York, onde posei com uma mulher fantasiada, e me senti, assim, de novo, infantil, moleca, à cata de risadas fáceis e sonhos de Natal.

Aliás, quando chegamos ao Shopping, onde fica o restaurante que escolhemos, ela logo me confidenciou: - sabe o que o Papai Noel vai trazer para mim? a maquiagem da Barbie... ela sussurrou tal segredinho com mãozinha escondendo a boca e intensa expressão de menina premiada.Alice me fotografou ( pôs o dedinho na frente da minha careta) , eu brinquei até de esconder lápis e achar sob os guardanapos, desfrutando da sua gargalhada infantil e solta, um misto de sapiência e futurismo quanto aos bons momentos da vida.

Ela me mostrou sua linda blusa com gatinhos brilhantes, presenteou-me com forte personalidade, aquietou-me os anseios dos embalos de sábado à noite, eu estava com sua aura de anjo e ela me fazia desenhar. Pintávamos juntas as bolinhas da roupa das muitas Minies que criei, surpreendendo-me...eu disse: - nem eu sabia que podia desenhar Minies...rsA pequenina flor, feliz na companhia dos papais Raul e Glória, era uma dádiva como companhia, amorosa e solícita, tão "pessoa", como se auto definiu para seu pai...não sou macaquinho...sou pessoa...rs
Crianças renovam o Natal.
Afinal, quando deixávamos o lugar, ela parou em ponto estratégico e acenou para o Papai Noel de plantão. Ele olhou-a bonachão, acenou de volta. Ela pulou , vibrou, repetiu aos quatro ventos que o Papai Noel lhe correspondera ao aceno, talvez porque esse era o sinal do quanto ele ama as menininhas como Alice. Assim, tão delicadas e inteligentes, comandando escritoras que se tornam desenhistas de Minies, em plena noite de sábado. Uma foto de nós duas com um boneco do Papai Noel e descubro que o espírito desse Natal acaba de me tomar de assalto, através de Alice.
Preciso pedir ao Papai Noel uma boneca Minie para mim. Afinal, acho que tenho sido uma senhora comportada, rs, e mereço tal mimo, digo, tal Minie, de vestido de bolinhas e orelhas grandes. Obrigada Alice, por trazer de volta ao meu coração, o sonho do Natal!
Aparecida Torneros

um texto do Natal de 2005...Anoiteceu...











"Eu pensei que todo mundo fosse filho de Papai Noel"
Maria Aparecida Torneros da Silva

"Eu pensei que todo mundo fosse filho de Papai Noel"
Quem pensou isso e imortalizou esse verso na canção, foi o conmpositor  Assis Valente, que nos legou a tal letrinha que relembra a desigualdade que campeia, de há muito, na humanidade. Ao conviver, nesse país de realidades tão díspares com pessoas de vivências extremamente diferenciadas, há algumas semanas, fui abordada por uma colega de trabalho, me pedindo a intercessão, na área médica, junto a um hospital famoso da rede pública carioca, para um melhor atendimento a uma senhora que é mãe de um funcionário que me atende no setor de xerox. Como característica personalíssima, ele, às vezes não consegue vir ao trabalho, por ser morador lá do alto do morro da Rocinha, sendo impedido, nos dias de tiroteio forte ou de tensão que o prende no exílio forçado, junto justamente da senhora com quem mora, sua mãe, que quebrou o braço. Ela foi operada de emergência, mas a cirurgia, depois que voltou para casa, apresentou problemas, deixando-a noites sem dormir, com dores lancinantes. Tentou ser reavaliada, mas, o intenso movimento do dito hospital programou que seria examinada num prazo de 30 dias. Evidentemente, para quem está acostumado a se valer de assistência médica normal, fica difícil imaginar-se com dores num braço operado, engessado, sem dinheiro para ir a um consultório particular, morando na comunidade famosa da Rocinha, tendo um único filho, rapaz trabalhador, mas detentor de salário contado para pagar a sobrevivência de ambos. Peguei o telefone e fiz alguns contatos.
Finalmente, consegui falar com a direção do hospital, e, na secretária da diretora, encontrei o Anjo de Natal que atendeu a pobre senhora, nas palavras do seu filho, com tratamento "vip", porque foi constatado que havia infecção pós- operatória e ela poderia , se não fosse vista logo , perder o braço. Ontem, ao passar pela sala em que o jovem trabalha, perguntei por ela. O sorriso dele me contando que ela está bem, feliz, porque vai passar o Natal sem dores. Ele não me disse que vão passar o Natal com presentes, com peru ou pernil, com vinhos ou champanhas, mas apenas, me comoveu, se referindo à felicidade de não sentir dores.
Entendi que o Natal Feliz é saúde, é paz ( tomara que na noite de Natal o tráfico e polícia assinem trégua de paz na Rocinha), é amor de filho e mãe, é esperança de mudar o que é tão difícil de mudar. Natal Feliz não é o dos balsos cheios dos homens do Congresso, recebendo seus extras pelo trabalho de repensar o país tão injusto. Há um Natal mais forte nos lares de milhares de sitiados pela desigualdade nesse Brasil do Oiapoc ao Chuí, com certeza. Mas, ainda bem, há o espírito de Natal e sempre encontraremos Anjos de Guarda capazes de se sensibilizar com as dores dos seus irmãos brasileiros, vítimas do egoísmo desenfreado que acomete os poderosos, há séculos.
Isso me fez lembrar a canção, cuja letra vou transcrever, desejando a todos um Natal, com felicidade, sem dores !
Anoiteceu, o sino gemeu, A gente ficou feliz a rezar. Papai Noel, vê se você tem, a felicidade pra você me dar. Eu pensei que todo mundo fosse filho de Papai Noel, bem assim felicidade, eu pensei que fosse uma brincadeira de papel. Anoiteceu... Já faz tempo que eu pedi mas o meu Papai Noel não vem, com certeza já morreu, ou então felicidade é brinquedo que não tem. Anoiteceu...
Aparecida Torneros

Mamãe Noel... enfrenta a crise...


Em tempos de crise, tanta lamúria,
resolvi presentear a ilusão, abandonar a penúria,
colocar no painel uma Mamãe Noel com luxúria,
sem entretanto subestimar valores éticos,
apenas para contrapor lamentos épicos,
faltando empregos, as bolsas a despencar,
só mesmo brincando com a vida, a ela brindar,
e sussurrar, repetir, acreditar, apesar, apesar, apesar...
Em tempos de recomeço de ano e de propostas,
tornar nossos corações com suas dores expostas,
capazes de recompor-se da quebradeira, só ter fé,
e seguir a caminhada humana, devagar, pé após pé,
sentindo que o Amor é ele mesmo, nosso porto seguro,
a alegria, nossa irmã apoiadora macia para futuro duro...
Em tempos de desejos de Boas Festas, Boas Falas, só as Boas...
são elas que nos amenizam as dores, nos devolvem a graça,
nos fazem brindar aos melhores dias que virão, pois tudo passa,
questão de querer, crer, lutar, reconstruir, a mão na massa...
aparecida torneros


 

 

aqui faz calor, lá está nevando...é Natal...




ele me disse da nevasca

depois da chuva

depois do frio

então me olhou pedinte

nem falou da saudade...

não precisava, a dor é nossa

e ninguém tasca...

a dor não é dor...é só falta

do abraço de verdade

porque na imaginação

estamos mesmos agarrados

como dois pássaros

nos abrigamos da neve e do tempo

precisamos vencer o espaço

a distância, qualquer circunstância

onde paire a dúvida ou a indecisão...

o fato é que o Natal chegou

para todos nós, os que sentem calor

os que passam frio, os do Rio,

os de Nova York, os da Europa, da Austrália, de Israel, Iraque e Afeganistão, onde estão?

nos braços agarrados das suas dores, nas sensações arrepiantes das suas saudades,

há Natais em cada canto do mundo imundo ou do mundo limpo, nem penso bem o que faço...

se vou na enfermaria das crianças do hospital e participo com elas da sua festa na segunda,

se visito o asilo dos velhinhos e choro com eles a emoção de mais um Natal, ou fico como estou:

observando a neve no hemisfério norte, suando o calor do sul do planeta, apenas vou e vou...

é só mais um Natal, é só a grande chance de ter o Jesus menino a nascer na paz profunda...

na paz do gelo que derreta corações empedrados ou no calor tropical que incendeie o Amor...

e que seja para sempre...

Aparecida Torneros















 

 

Ele vem para o Natal!



Ele vem para o Natal
Maria Aparecida Torneros da Silva

As ruas pareciam labirintos apinhados de gente afogueada, correndo feito maratonistas, as pessoas voavam em bandos, atropelando-se, com expressões de ansiedade nos rostos que denotam o espírito das festas de fim de ano.
Toda vez que dezembro chega, ela pensa no quanto é incrível a renovação do sentimento de irmandade apregoado aos quatro cantos, como se isso fosse possível na humanidade tão mal acostumada às competições, às guerras e a uma violência infelizmente presente no dia a dia de todos os mortais.
Nos últimos Natais, Maria optou pela paz do seu recolhimento individual. Passou-os sozinha, degustando um bom vinho, comendo algumas iguarias, rezando pelas criaturas de boa vontade e até por aquelas incapazes de amar, autoras de feitos maléficos, os pobres de espírito, que infernizam seus semelhantes com maldades atrozes.
Maria compadeceu-se dos doentes e dos abandonados. Orou por eles, com contrição, pedindo ao Deus dos Homens que os protegesse e confortasse.
Para si, limitou-se a insinuar que bem poderia ter alguém ao seu lado a cada novo Natal. Estava sem marido há tanto tempo. Poderia ser um parceiro amigo e sincero. Melhor seria se Ele viesse envolto em aura de atração e desejo.
Mas, não ousara esperar tanto da vida. Na maturidade, ela se conformava com o destino.
Depois de criar os filhos, que ficaram cada vez mais distantes, passando para aquela visita rápida e obrigatória, deixando-a com seus pensamentos de saudade dos tempos em que tivera uma grande família reunida em volta da ceia da noite santas, ela agradecia, mesmo assim, porque, pelo menos, eles se lembravam de dar-lhe um alô apressado.
E ali ficava, na sala, tendo por companhia a televisão ligada, apresentando os shows com mensagens de confraternização, ou a missa do Galo, transmitida diretamente de Roma.
Era mesmo um alento. Sabia-se sozinha, sem sentir-se assim, porque preferia crer que em algum lugar do Universo, havia um par que chegaria num desses Natais, para brindar com ela, pelo Nascimento do Menino Deus, simbolicamente, enquanto se olhariam com ternura e cumplicidade.
Sempre pensava: Ele vem para o Natal! Nos dias que antecediam a data máxima da cristandade, Maria se esmerava em enfeitar a casa, comprar roupas novas, ajeitar os cabelos, abastecer a geladeira, pendurar badulaques na árvore iluminada e colorida.
Sempre ouvia uma voz interna que lhe dizia: Ele vem para o Natal!
Maria se mantinha esperançosa. Não sabia nem o que a fazia crer que teria a companhia do seu príncipe encantado na noite de Natal.
Um dia, conheceu um homem simpático que a cobriu de atenções e a fez acreditar que era possível amar intensamente, apesar da maturidade.
Ele morava em outra cidade. Viam-se pouco, mas mantinham contato sempre.
Dezembro chegou. Maria ficou ansiosa. Será que Ele vem mesmo para o Natal? Ele não dera certeza, alegou a necessidade de passar com seus filhos na cidade distante. Ela considerou justa a causa e preparou-se para mais um Natal solitário.
A noite de 24 de dezembro pegou-a um pouco cansada. Preparou as rabanadas como a prendera com sua avozinha, ainda menina. Arrumou uma linda mesa. Tirou os cristais para fora, a louça mais fina que dispunha. Sabia que receberia muitos telefonemas.
Assim foi. As horas foram passando. Os filhos deram aquela passada corrida, amigos ligaram. O carteiro entregou mensagens de boas festas. A cada vez que o telefone tocava, seu coração disparava. Queria pelo menos, ouvir a voz dele.
Adormeceu no sofá. Havia exagerado nas doses de vinho, enquanto assistia a um coral maravilhoso na televisão espanhola. De repente, uma voz cantava suavemente: Ele veio...Abra a porta... Ele veio para o Natal...Acordou, sobressaltada. Seu sonho o trouxera, uma ilusão, pensou...
Trocou de roupa. Dirigiu-se ao quarto. Restava dormir na cama e esperar pelo próximo Natal. Estava mesmo sozinha. Aconchegou-se na maciez dos lençóis ao mesmo tempo em que duas lágrimas correram teimosas pelo canto dos olhos. Repreendeu-se pela auto-piedade.
Afinal, já tivera tantos Natais felizes. Este era apenas mais um, em que tinha saúde, podia adormecer em paz. Ele não era tudo nessa vida. Era na verdade, um capricho feminino imaginar-se abraçada a Ele na noite de Natal.
A campainha tocou. Ela se assustou. Olhou o relógio. Meia noite e meia. Correu para atender, ainda que meio descomposta, abriu a porta. Um ramo de flores cor de rosa escondia um rosto querido.
Maria não agüentou e chorou copiosamente. Recebeu o buquê, ao passo que seus braços confundiam-se em torno daquele corpo cujo calor irradiava um grande bem. Ele veio... murmurou com sua voz interna...
Ele apenas disse: - Eu vim passar o Natal com você. Desculpe se não avisei, mas o telefone estava sempre ocupado. Feliz Natal, Maria!

Quem não traz seus Natais dentro do peito ?







Quem não traz seus Natais dentro do peito ?


Quando o Natal chega, todos os anos, não há como evitar, ela lembra de muitos Natais da sua vida. Recorda-se do carrinho azul que viu seu irmão brincar há mais de oito décadas, em manhã de um dezembro distante no tempo, mas tão presente na memória e aí, ela sorri.Naquele tempo, eles moravam numa casa grande, com quintal arborizado, no subúrbio que marcou sua infância feliz. Como eram bons aqueles Natais, de folguedos e birnquedos, família e vizinhos, amigos e simpatícos agregados, trocando abraços, sorrisos e pratos saborosos.Saudade das rabanadas da portuguesa Filomena, dos bolinhos de bacalhau feitos carinhosamente pela vó Luzia, e como era delicioso o frango com lentilhas que a mãe Maria preparava. Vinham em ondas aquelas imagens de pessoas e lugares, evoluindo para a sua adolescência, seus primeiros amores e finalmente, abrindo o baú, nas tardes lentas da velhice, pegava as fotos amareladas do seu casamento com Joaquim e dos seus filhos meninos, Luizinho e Bentinho.Agora, morando num asilo para velhice, Anita se desmancha em sentimentos de saudade, justamente nessa época natalina. Sabe que a sensibilidade lhe aflora ao peito, faz dela uma criatura mole que nem manteiga derretida, a pensar no tempo que correu célere e no quanto foi possível aproveitar a vida, lutar pela criação dos filhos, tê-los visto se formarem, ter segurado nos braços netos que também tinham crescido.A doce Anita de oitenta e tantos anos, ali, naquela casa de repouso e senilidade, traz dentro de si, muitos Natais presos no peito, e, quando as atendentes chamam para a ceia da noite Santa, busca enfeitar-se com seu melhor vestido, o azul royal, de golinha rendada e branca, para juntar-se à sua nova família, senhoras e senhores que dividem com ela, seus momentos de lazer e de oração, refeições frugazes e a certeza do dever curmprido.Conclama a todos que rezem agradecendo aquela comida especial e tão bem cuidada, sorri em reverência a cada amigo ou amiga que lhe cumprimenta. Repete um 'Feliz Natal' que imagina seja o mesmo que seus filhos e netos estejam desejando aos amigos e amigas neste momento em algum lugar, apesar de não receber há muito sua visita, mas lhe mandaram presentes, como chinelos, sabonetes e colônias. Um motorista veio trazer uns dias antes.Explicou que todos tinham viagem marcada e que telefonariam, se pudessem, no dia de Natal, para ela.Anita pensa que já tem um bisneto que nunca viu, ele deve ter uns cinco anos, ela reflete.Tudo bem, Anita pensa: - Deixai-os viver Senhor Jesus, e protejei-os, meu Pai do Céu. Meus filhos ainda são meninos para mim, apesar de cinquentões. E meus netos, já na casa dos trinta, têm muitas responsabilidades, filhos e trabalho, tenho que entender sua falta de tempo e só quero que todos estejam felizes, nesta Noite, como eu estou, aqui, tão bem cuidada.Repentinamente, como se fosse um Anjinho de Natal eis que surge no salão de refeições do asilo, um menino risonho, correndo, que dispara na direção da vovó Anita, para abraçá-la, o que faz com que todos interrompam o jantar e observem a cena- Quem é você, lindo pequerrucho? Anita indaga, extendendo as mãos e acolhendo o infante arfante.- Vc é minha vó Anita, eu vi no retrato que a meu vô Bento me mostrou. Eu pergunto a ele todo dia onde vc mora. E hoje, que é Natal, pedi a ele que queria ver a minha vó Anita... Tô aqui, na sua casa, né? vim passar o Natal com vc, né? vc quer esperar o Papai Noel comigo?Anita ri... vê que agora entram no refeitório, seu filho Bento, a nora, os pais do guri risonho, seu neto e esposa, e os observa, com certa perplexidade, pois há muitos Natais que não os vê e pensava que estavam todos a viajar nos feriados de final de ano, conforme lhe dissera o potador dos presentinhos, dias antes.Mas, Bento, com jeito de filho arrependido, vem dizer à mãe, emocionado, que o pequeno Joaquinzinho não aceitou viajar. Convenceu a todos a irem visitar a bisavó, que ele vivia beijando no retrato, chegou a ficar febril a repetir que só queria ver a vó Anita no Natal, e esperar, com ela, pela chegada do Papai Noel.Anita foi aplaudida pelos companheiros e companheiras de asilo. Agradeceu a visita, abraçou o bisneto, o filho e toda a família, convidou-os a sentarem à mesa. Manteve o menino no colo, que a acariciava, enquanto se pergunta, internamente: - Quem não traz seus Natais dentro do peito?Este Natal é mais um deles, que ela jamais esquecerá, e fará parte da lista de Natais do Quinzinho, daqui a algumas décadas, com certeza.


Aparecida Torneros

viva o sonho do Papai Noel!!!


Feliz Navidad
















De presente, meu sorriso, para ti...

darei a ti meu sorriso franco
é de graça, nem pense em pagar,
tem a graça da pura graça da vida
é meu sorriso de dente branco
boca exprimindo vontade de te abraçar
e desejar feliz ano novo, feliz subida
aos céus do amor, da paz e dos sonhos
sem mais medos ou pensamentos tristonhos,
só alegrias é o que te desejo nesse fim de ano
para que recomeces do zero, que faças um plano
o de se auto-amar, melhor que tudo, amar a todos,
por mais utópico, difícil, estranho, desafiante tratado,
melhor ainda, amar o Amor e se surpreender amado...
porque amar alguém e ser amado enfim, depende do lado
em que se dá ou recebe o sorriso... basta abrir mão de si
distribuir carinho, abdicar do egoísmo, cantar dó-ré-mi
vale apelar para os anjos, acreditar na magia do Natal,
ensaiar no espelho, cantarolar um hino, aceitar o Divino,
e soltar a alma da sua prisão infeliz, voltar a ser menino,
reaprender a ser menina, com as amigas brincar no quintal...
Dou-te meu sorriso de feliz Ano Novo, nem precisas dar-me nada...
Ofereço-te minha PAZ e agradeço porque me aceitas descomplicada...
Afinal, nem fui ao shopping comprar este presente, fui ao sonho,
descobri que posso te ofertar meu melhor afeto com a minha risada...
Aparecida Torneros

"um sorriso como presente de Natal"‏


Os Natais andam chegando depressa demais, comentou uma amiga minha, nessa corrida louca que passa por nossas vidas entre tantas crises e parece que estamos todos à beira de um ataque de nervos, como define Almodovar no seu clássico filme sobre essa coisa de não nos reconhecermos como seres ainda capazes de gestos desprendidos, desprendidos do consumo. Resolvi então que mandaria de presente para os amigos, familiares e afins, um sorriso de presente de fim de ano. Pus no meu blog e saí distribuindo. É o presente mais barato que encontrei e o mais sincero que consegui, porque se encaixa, nem precisa de fita dourada ou papel colorido, ele já vem embalado na promessa-contextual-fotográfica de que lhes desejo paz, alegria, prosperidade, um montão de fons fluidos através da minha boquinha sorridente, tentando afastar maus presságios, dando uma pausa para os desafetos e apostando na positividade da energia do bem. Desses Natais corridos quase não se pode guardar mais aquelas lembranças de famílias conversadeiras em ceias sem muita pompa, mas com excesso de agrados típicos. Era a bisavó a fazer as rabanadas, nem pensar em compraá-las prontas, ou seriam os bolinhos de bacalhau com o tempero materno, as saladas de frutas tropicais descascadas e picadas a oito mãos pelos agregados que apareciam nas nossas casas e eram sempre benvindos. Natais com presépio armado com a ajuda dos meninos e menias, invenções de galos a cantar no alto de alguma montanha concebida em jornal amassado, pintado, de massa verde, ou um laguinho feito com o espelho emprestado da bolsa da irmã mais velha. Patinhos de biscuí nadando na superfície espelhada. Luzes penduradas em árvore que alguém trouxe do jardim, uns pacotinhos imitando presentinhos, bolas coloridas penduradas, a estreva dalva no alto em ponta como um cometa que passava devagar. Era preciso nortear os tres reis Magos, eles viriam do oriente devagar para presentear o menino Deus, e chegariam no dia 6 de janeiro. Aí, era dia de trocar presentinhos simples, como um sabonete ou uma caixinha de talco, um lencinho com letra inicial de nome bordada em azul, talvez um chinelo novo para o avô, ou um xale de lâ para a avózinha. Crianças ganhavam carrinhos de madeira, bolas de gude, bonecas de pano, nem tinha tanta propaganda, nem dinheiro, nem televisão anunciando ofertas de eletrodomésticos. O máximo que se gastava, além das comidas, era uma pinturinha na fachada, para agradar os vizinhos, e recebê-los no brinde da hora santa. Rezava-se pelo bem da humanidade, pela saúde das pessoas e pela paz dos povos, era um tempo tão ingênuo, ou tão desprovido de ambições. Cavalinhos de pau e velocípides rudimentares podiam ser vistos na manhã do dia 25, adestrados por meninos felizes, e as garotas lá estavam a desfilar suas bonequinhas em forma de ternura materna, enquanto se preparavam para a vida que viria as tornaria mães de verdade, sem pressa. Pois é, minha amiga tem razão, tudo passou tão depressa e cá estou, chegando aos 60, observando a crise, e vendo como as pessoas terão que reaprender a dividir e gastar pouco, fazer da simplicidade o melhor dos seus mundos em Natais vindouros, estes sim, que virão mais vagarosos, pois não há mais porque correr atrás de um ouro derretido com a ganância dos grandes, que pensavam se eterno seu poder de compra. Agora, que reinventem felicidade sem ser e viver. Chega de pseudo felicidade em ter e consumir. Basta reunir quem se ama e abraçar bem forte. Um abraço, um beijo e um sorriso, estes sim, podem ser os melhores presentes do Natal da crise, por isso já enviei minha oferenda despretenciosa e nem quero resposta. Aprendi a ser feliz só por isso: desacelero meu fim de ano e busco a Paz maravilhosa que é amar a quem precisa ser amado, ou melhor, sorrir para quem precisa receber um sorriso de Natal.
Aparecida Torneros Jornalista Rio de Janeiro

Feliz Natal e um ano novo brilhante!!!


Domingo, 21 de Dezembro de 2008

De presente, meu sorriso, para ti...

darei a ti meu sorriso franco
é de graça, nem pense em pagar,
tem a graça da pura graça da vida
é meu sorriso de dente branco
boca exprimindo vontade de te abraçar
e desejar feliz ano novo, feliz subida
aos céus do amor, da paz e dos sonhos
sem mais medos ou pensamentos tristonhos,
só alegrias é o que te desejo nesse fim de ano
para que recomeces do zero, que faças um plano
o de se auto-amar, melhor que tudo, amar a todos,
por mais utópico, difícil, estranho, desafiante tratado,
melhor ainda, amar o Amor e se surpreender amado...
porque amar alguém e ser amado enfim, depende do lado
em que se dá ou recebe o sorriso... basta abrir mão de si
distribuir carinho, abdicar do egoísmo, cantar dó-ré-mi
vale apelar para os anjos, acreditar na magia do Natal,
ensaiar no espelho, cantarolar um hino, aceitar o Divino,
e soltar a alma da sua prisão infeliz, voltar a ser menino,
reaprender a ser menina, com as amigas brincar no quintal...
Dou-te meu sorriso de feliz Ano Novo, nem precisas dar-me nada...
Ofereço-te minha PAZ e agradeço porque me aceitas descomplicada...
Afinal, nem fui ao shopping comprar este presente, fui ao sonho,
descobri que posso te ofertar meu melhor afeto com a minha risada...
Aparecida Torneros
 




 

neste Natal, a quem interessar possa...


Neste Natal, a quem interessar possa... ( texto de 2005)

A coisa funciona quase sempre assim. A gente corre e trabalha o ano inteiro, planeja uma série de atitudes, estabelece metas, decide que é momento de algumas mudanças, vai vivendo, driblando os percalços nos meses que se sucedem como num torvelinho.

Aí, um dia, provavelmente numa manhã em que a luz adentra pela janela na casa que se faz fervente, a criatura acorda se sentindo " caminhando contra o vento, no sol de quase dezembro".

Bem, não há como voltar atrás, o que passou, se foi, e o tal dezembro chegou de novo, com sua climatização, seus calores, que no Brasil, fazem do Natal aquele período de verão quentíssimo, de ruas entupidas, de gente se trombando pelos shoppings, de aeroportos e rodoviárias adensados de reencontros, de estradas cheias de esperança por momentos felizes. Não importa o quanto a política e a economia tenham afetado nossas emoções ou os nossos bolsos, agora é Natal e vamos é comemorar. Tem o show especial do Roberto na televisão, tem a árvore de Natal da Lagoa Rodrigo de Freitas, dá para encarar uma ceia novamente na casa da mamãe, ou da vovó, ou da namorada recente, quem sabe aquele gato escaldado que tem medo de casamento chegue enfeitiçado de espírito natalino e finalmente faça o sonhado pedido para juntar os trapinhos?

Meu dezembro , como o de vocês, tem mesmo essa aura de necessidade de amar e ser amado. Fico precisando dar o abraço naquele amigo que não vejo há muito tempo, me cobro a visita ao asilo dos velhinhos que tanto adiei, sou tomada de uma impiedosa culpa cristã pelas promessas que não cumpri, e o que é pior, me permito comer as gulodices mais díspares, misturadas e sem a menor parcimônia, em nome da confraternização das boas festas.

Nas luzes que piscam pelas avenidas, tento vislumbrar os amores do passado que me deixaram ainda algum brilho na alma, no afã de perdoar qualquer resquício de mágoa das separações e das traições, herança acumulada ano após ano, no decurso de prazo, no acúmulo de experiências afetivas.

Percebo que há mais sorrisos sendo distribuídos pelas calçadas, enquanto as tulipas de chope gelado são viradas a cada segundo contra bocas sedentas de frescor. Também é possivel identificar que há na febre consumista em torno dessa data um frenesi tresloucado de superação personalista. Todos querem ser queridos, presenteados, paparicados, lembrados, abraçados, beijados, numa proporção potencialmente acima das possibilidades rotineiras.

Mas, neste Natal, a quem interessar possa, nada será tão importante, para mim, do que me recolher com meus pensamentos, na solidão do ato reflexivo, na sala vazia.

Devo pensar sobre o quanto há para fazer além do circuito do meu umbigo, o mesmo que me liga a um ego que tento domar, ao qual me sinto ainda muito presa, com a consciência crescente de que preciso insistir em projetos mais ligados ao meu próximo, ao Brasilzão que implora por nova ordem social, ao meio ambiente e à felicidade compartilhada com meus vizinhos.

Com certeza, desse jeito, terei um Feliz Natal.

Aparecida Torneros
Jornalista-RJ
 
 
 
Anjos, Duendes e o Elemental Papai Noel
Aparecida Torneros

Dois olhinhos azuis brilhavam na minha direção, naquela noite feliz.

Eu os observava sentindo um certo arrepio nas costas, delicioso frêmito que me reportava à infância perdida.

Esses olhos iluminavam minha esperança de sonhos sobre a humanidade, a justiça, a saúde dos povos, a erradicação das diferenças e a paz. De certo modo, eles me hipnotizavam.

A intensidade daquele olhar me tornava tão pequenina.

Imaginei que seu raio de ação era tão abrangente, capaz de alcançar o universo inteiro.

O tal Papai Noel me transformava, insistentemente, numa pequena criança, desejando apenas ser feliz. Tudo era pureza em minha alma, ao ser contemplada pela magia do Natal.

De repente, senti que Anjos dançavam à minha volta, e cantavam o coro da harmonia soprando em meus ouvidos as canções mais doces.

Não podia crer naquela situação em que me via voando sobre as cabeças das pessoas, incrivelmente.

Sim, fui alçada por um grupo de Duendes risonhos e elevada, flutuando passando a me sentir tão leve quanto uma pluma e tao etérea quanto uma nuvem.

Os olhinhos permaneciam dentro dos meus, direcionados.

De onde eu estivesse, nos volteios que fazia no ar, podia divisar o brilho celeste que Papai Noel me enviava, através do azul intenso do seu maravilhoso olhar.

Eu sorria e chorava ao mesmo tempo.

Então era isso que o Espírito de Natal podia fazer conosco?

Os seres humanos podiam voar e mudar de dimensão quando fossem tocados pelos Duendes, Anjos e pelo doce aconchego do bom Velhinho.

Observei lá em baixo, ficando cada vez mais distante, as pessoas da Terra.

Tive tanta pena delas. Senti que podiam ser mais felizes se eliminassem definitivamente tanto sentimento pequeno de competição e tanta inveja.

Também, refleti, para que tanta ambição entre os povos, e quanta injustiça entre os homens. Vi, me comovi, chorei copiosamente, ao lamentar as guerras, as calamidades, as epidemias, a pobreza e a fome.

Mas, Papai Noel me chamou de volta, com sua atenção especial. Ele me ensinou, naquela noite, que tudo pode ser melhor, que deve se renovar eternamente a esperança e fazer alguma coisa concreta para mudar o mundo.

Cada um descobre em seu caminho algo a fazer de melhor por alguém que precisa. Disso, ele me convenceu. Lembrei de tanta caridade que se organiza em movimentos assistenciais em todo o mundo, e pude ver as luzes de velas acesas, na imensa escuridão do cosmos.

Uma luz maior me possibilitou compreender que a cada ação de paz, a cada sorriso de uma criança, o mundo se renova e a humanidade se redime.

Assimilei a lição do Bom Velhinho e passei a sentir que o Natal é um lindo conto de Fadas, um mágico sonho a ser vivido entre adultos e crianças, para realimentar o universo de Amor.

Sobre o Amor, ainda, ele, com seus profundos olhos azuis, me tirou a dúvida maior que me acompanhava há tanto tempo: o Amor existe, nós somos o próprio Amor, e ele vai além do tempo e do espaço...

Papai Noel me fez voar sobre a Terra e me transformou num raio de luz... Com meus volteios no céu, escrevi um imenso Feliz Natal no ar... para todos os meus amigos e amigas... que vão poder olhar na noite, entre as estrelas , e observar a minha mensagem lá no alto... iluminando cada coração que sintonizar o meu.